Le 9 décembre 2025, l’Assemblée nationale a adopté, dans un climat tendu, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour l’année 2026. Avec 247 voix pour, 234 contre et 93 abstentions, ce vote s’est avéré crucial pour l’équilibre financier de notre système social.
En Normandie, les réactions des députés sont variées. Dans le Calvados, Joël Bruneau (Liot), Élisabeth Borne (Renaissance) et Christophe Blanchet (Modem) ont voté en faveur de la loi, tandis que deux députés Horizons se sont abstenus. Arthur Delaporte, représentant du Parti Socialiste, a également manifesté son soutien pour le budget.
La Manche a enregistré un consensus avec un vote unanime en faveur de la loi par les quatre députés de la circonscription, dont Bertrand Sorre et Stéphane Travert (Renaissance). En revanche, l'Orne a vu la majorité de ses élus s'abstenir, avec la députée Véronique Louwagie (LR) et Jérôme Nury (LR) choisissant de ne pas soutenir le texte.
À l’inverse, en Seine-Maritime, les opinions divergent davantage. Florence Herouin-Léautey (PS) et Annie Vidal (Renaissance) se sont prononcées pour, tandis que des députés communistes et de La France Insoumise ont voté contre. Les députés du Rassemblement National ont également marqué leur désaccord, dénonçant le budget comme insuffisant pour répondre aux attentes des Français.
Selon plusieurs experts, ce vote a des implications significatives pour la future réforme des retraites et le financement des hôpitaux, qui seront au cœur des discussions politiques de l’année à venir. Un article de Le Monde souligne l'importance de ce vote pour déterminer la direction future de la politique de santé en France.
En définitive, le vote sur le budget de la Sécurité Sociale reste un indicateur de la tension politique ambiante et des priorités divergentes des partis. Les Français sont invités à suivre de près les développements, car les conséquences de cette décision toucheront chaque citoyen.







