La semaine précédant les vacances de Noël se profile sous un ciel chargé de tension politique à Montauban. Le conseil municipal, prévu mardi à 18 heures, sera un moment clé pour discuter de la situation entourant Thierry Deville, premier adjoint actuellement sans délégation. Cette réunion pourrait déterminer son avenir au sein de l'administration locale.
Jeudi, à 16 heures, la pression sera encore plus forte. Un texte vise à disqualifier Deville de ses fonctions de vice-président du Grand Montauban Communauté d’Agglomération (GMCA). Dans le même temps, Bernard Péco est également pris pour cible, ce qui soulève des questions sur la stabilité de la direction de l’instance. La situation a déjà suscité des réactions variées au sein des partis, certains élus appelant à une clarification rapide des rôles pour éviter un climat de méfiance.
En parallèle, vendredi sera un jour de lancement pour le collectif Nouveau Montauban, qui dévoilera les nouveaux candidats pour les prochaines élections municipales, s'ajoutant à la campagne menée par le maire actuel, Jean-Philippe Labarre, et sa première adjointe, Brigitte Lamouri. Selon des sources proches du dossier, l'équipe espère renforcer ses positions en vue des élections de 2026, bien que des défis considérables se dressent devant eux.
Cette période de turbulence à Montauban rappelle les dynamiques complexes qui régissent la politique française actuelle, où chaque décision peut avoir des répercussions profondes. Comme l’a souligné un expert en gouvernance locale, “les prochaines semaines seront décisives, et il sera crucial d’observer comment les différents acteurs réagissent face à ces enjeux.”







